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Création et diffusion du jeu « Défi nature Guadeloupe
Comité français de l'UICN
Création et diffusion du jeu « Défi nature Guadeloupe"
Océan Atlantique, Guadeloupe
Lancé en 2022, projet terminé en 2023
Projet TEMEUM
Projet partenaire : Ce projet avait pour objectif de contribuer à la préservation de la biodiversité des Outre-mer français en sensibilisant la population, et notamment les jeunes générations, à sa richesse mais aussi à sa vulnérabilité, à travers l’élaboration et la diffusion de jeux de cartes ludiques sur le territoire de la Guadeloupe.
La société Bioviva conçoit, produit et commercialise des jeux éducatifs innovants sur la nature, fabriqués selon une démarche respectueuse des hommes et de l’environnement. Parmi ses produits, les jeux de cartes « Défis nature », qui permettent aux petits comme aux grands de se familiariser avec les différentes caractéristiques des animaux, sont devenus un véritable phénomène de cour de récré.
Etant donné les objectifs communs à Bioviva et au Comité français de l’UICN sur la pédagogie environnementale, nous avons décidé d’unir nos forces pour créer une collection spéciale « Outre-mer » des jeux « Défi nature » valorisant la biodiversité de l’ensemble des territoires.
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Elena Gorchakiva
elena.gorchakova@uicn.fr
Actions de restauration écologique expérimentales pour lutter contre l'eutrophisation dans le Grand Barachois © Fabrice Teletchea
Fédération des chasseurs de Saint-Pierre-et-Miquelon, Laboratoire Interdisciplinaire des Environnements Continentaux (UMR Université de Lorraine - CNRS)
Actions de restauration écologique expérimentales pour lutter contre l'eutrophisation dans le Grand Barachois
Océan Atlantique, Saint-Pierre et Miquelon
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'habitats
BESTLIFE 2030 : Le Grand Barachois est la plus grande lagune de Saint-Pierre et Miquelon qui, abritant une biodiversité exceptionnelle. Depuis plus d’une dizaine d’années, la Fédération des Chasseurs de Saint-Pierre-et-Miquelon (FDC) alerte sur la forte dégradation de cet écosystème remarquable, liée essentiellement à la prolifération, puis la putréfaction d’algues, qui se sont accélérées récemment. Porté par la FDC, le présent projet est le fruit d’échanges entre les acteurs locaux et plusieurs experts, organisés en consortium depuis juin 2023.
Avec comme objectif central d'expérimenter des actions concrètes de conservation de la biodiversité, BESTLIFE for BARACHOIS visera à lutter contre l'eutrophisation du Grand Barachois. Il s’articulera autour de deux actions complémentaires de restauration écologique d’habitats :
(1) herbier de zostères
(2) moulière sur sable.
Planifié sur deux 2 ans, le projet s'articulera en deux phases : le diagnostic la première année et enfin l'expérimentation la deuxième année.
La première prévoit une état des lieux de la qualité du milieu et des zones potentielles de restauration, tandis que la seconde consistera au déploiement d'essais de restauration des deux habitats.
Le projet bénéficiera du projet BARACHOISPM (début le 15/04/24) qui permettra la mise en place d'une gestion concertée du site, porté par le co-demandeur (LIEC - Université de Lorraine).
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secretariat.fdc975@gmail.com
COHAB - Pour une cohabitation durable du trafic maritime et de la mégafaune marine dans les eaux côtières françaises protégées de l'océan Indien © Laurent Debordes / Globice
Globice
COHAB - Pour une cohabitation durable du trafic maritime et de la mégafaune marine dans les eaux côtières françaises protégées de l'océan Indien
Océan Indien, La Réunion, Mayotte
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'espèces
BESTLIFE 2030 : La tendance à l’accroissement du trafic maritime côtier constitue une menace majeure pour les cétacés et les tortues marines. Par leur présence, leur pratique, et les bruits qu’ils émettent, les navires perturbent les habitats, les comportements et les activités vitales des individus, et peuvent induire des collisions. Ces menaces peuvent avoir des conséquences à l’échelle populationnelle.
Le projet propose de contribuer à réduire ces menaces dans deux aires marines protégées. A La Réunion, en apportant aux gestionnaires de la Réserve Naturelle Marine de La Réunion des éléments robustes pour appuyer la modification et la mise en place de mesures de gestion adaptées (données précises sur les zones à enjeux, la perception et l’acceptabilité par les usagers des mesures existantes et prévues à court et moyen termes). A Mayotte, en initiant l’acquisition des premières données sur trafic maritime côtier et les pressions qu’il génère dans les eaux du Parc Naturel Marin de Mayotte.
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globice@globice.org
RESTOCOR - Restauration de l’habitat et des populations de Cotylopus rubripinnis dans les cours d’eau de Mayotte © P. Keith
OCEA Consult, Mayotte Nature Environnement
RESTOCOR - Restauration de l’habitat et des populations de Cotylopus rubripinnis dans les cours d’eau de Mayotte
Océan Indien, Mayotte
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'habitats
BESTLIFE 2030 : Cotylopus rubripinnis est un poisson amphidrome, endémique de l’archipel des Comores, protégé et classé Vulnérable (UICN).
Ce projet vise la restauration des habitats de C. rubripinnis en termes de qualité des habitats (physico-chimique, physique), continuité écologique et ressource quantitative. Il s’intéresse aux phases suivantes :

-Identification des bassins versants prioritaires et gestionnaires associés ;
-Gestion et restauration des cours d’eau : référencement et enlèvement des obstacles à la continuité (seuils, embâcles, zones de lavandière) ;
-Ciblage d’actions de contrôle des prélèvements illégaux ;
-Ciblage pour les actions de maraudage pédagogique ;
-Education à l’environnement et sensibilisation : visites de différents publics (élus, scolaires), plaquettes, panneaux ;
-Suivis des espèces et du milieu, en lien avec les actions de restauration : évolution des faciès d’écoulement et substrats (zones de frayères), suivi des populations de C. rubripinnis (juvéniles, adultes et flux dévalant de pro-larves).

Ces actions permettront de cibler et mutualiser des efforts entrepris par les acteurs locaux, tout en impliquant les populations.
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communication.mne@gmail.com
Restauration écologique des ripisylves de la rivière Bouyouni © Abassi Dimassi
Communauté d’agglomération du Grand Nord de Mayotte
Restauration écologique des ripisylves de la rivière Bouyouni
Océan Indien, Mayotte
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'habitats
BESTLIFE 2030 : La ripisylve de la rivière est aujourd’hui fortement dégradée et ne remplit plus que très partiellement son rôle écologique. Cette situation entraîne des répercussions significatives tant sur la conservation des espèces inféodées à la rivière que sur le maintien de la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine, ressource actuellement sous tension dans le département.
Le projet porte sur la restauration écologique de la ripisylve de la rivière grâce à la plantation d’espèces végétales indigènes de la Bouyouni et vise ainsi un triple objectif environnemental : l’amélioration de la qualité des habitats aquatiques, la conservation des espèces animales et végétales associées à ces milieux et le renforcement des continuités rivulaires. Le projet s’inscrit dans une démarche globale de restauration des habitats naturels et des fonctionnalités associées à l’échelle du bassin versant et s’appuie sur une approche écosystémique de l’interdépendance des composantes écologiques du territoire.
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communication.cagnm@cagnm.fr
Éradication du rat noir de l’îlot Mbouzi © Réserve naturelle régionale de l'îlot Mbouzi
Les Naturalistes, Environnement et Patrimoine de Mayotte
Éradication du rat noir de l’îlot Mbouzi
Océan Indien, Mayotte
Lancé en 2024, projet en cours
Espèce exotique envahissante animale
BESTLIFE2030 : Aujourd'hui, l'éradication de rats sur toute île de plus de 5 ha repose exclusivement sur l'utilisation d’anticoagulants de seconde génération. Il s’agit d’une méthode de gestion fiable (probabilité de succès supérieure à 90%) et répandue à travers les îles du monde (plus de 600 opérations à ce jour, des dizaines d’opérations en cours). Considérant le risque d’impact potentiel sur quelques espèces non-cibles présentes à Mbouzi, notamment la population de makis ou lémurs bruns (Eulemur fulvus), cette éradication sera menée depuis le sol, via des stations à appâts sécurisées, afin de garantir l'acceptabilité sociale et environnementale de l'opération sans en affecter les chances de succès.
Les résultats de ce projet seront rapidement et directement visibles et mesurables en termes de gain pour la biodiversité à Mayotte, et le retour d'expérience sera partagé aux gestionnaires et scientifiques locaux, régionaux et internationaux pour améliorer les bonnes pratiques de lutte dans les nombreux territoires insulaires confrontés à des problèmes similaires.
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secretariat@naturmay.org
INCRUST RUN © Julien Robert
Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de La Réunion
INCRUST RUN
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances
BESTLIFE2030 : Le Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de La Réunion (CRPMEM) souhaite évaluer l'état de santé et la distribution des peuplements de langoustes et de crabes girafes autour de l'île. Pour atteindre les objectifs, des enquêtes de terrain et de l'auto-échantillonnage seront effectués par des pêcheurs professionnels, un inventaire sous-marin et une cartographie des habitats marins côtiers seront réalisés autour de l'île ainsi que le suivi des individus par des opérations en mer de capture-marquage-recapture. Les données acquises pendant ce projet aideront à mieux connaître l'état actuel des stocks et à améliorer les connaissances sur la biologie, l'écologie et sur les cycles de vie de ces espèces (croissance, reproduction, recrutement, déplacements, etc.). Ces nouveaux paramètres contribueront à établir des zones de conservation halieutiques afin de protéger durablement les populations, à réexaminer la réglementation locale sur la pêche en apportant des éléments scientifiques récents et à élaborer des mesures visant à mieux encadrer et à contrôler l'activité de pêche pour une utilisation et une gestion pérenne des crustacés à La Réunion.
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contact@crpmem.re
SAMEM - Sauvegarde en arboretum d’espèces menacées à La Réunion © CBNM
Conservatoire botanique national de Mascarin
SAMEM - Sauvegarde en arboretum d’espèces menacées à La Réunion
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'espèces
BESTLIFE2030 : Ce projet contribuera donc à la mise en œuvre de la stratégie de conservation ex situ en mettant en place deux nouveaux arboretums conservatoires. Pour cela, il s’agira de déployer une campagne de récolte de diaspores sur des semenciers sauvages menacés de disparition. Les diaspores récoltées seront par la suite mises en culture et les plants produits seront plantés dans les deux arboretums. Une traçabilité stricte de la récolte jusqu’à la plantation sera assurée selon le protocole du CBNM. Une cartographie précise des plants sera réalisée de manière à conserver leur traçabilité dans le temps mais aussi leur suivi et entretien. A l’issu de ce travail, un guide de création et de suivi d’un arboretum conservatoire sera produit afin de reproduire la méthode sur les prochains arboretums à mettre en place.
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cbnm@cbnm.org
Étude et collecte des déchets métalliques sur 8 sites récifaux de La Réunion © Galaxea
Galaxea
Étude et collecte des déchets métalliques sur 8 sites récifaux de La Réunion
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'habitats
BESTLIFE2030 : L’objectif de ce projet est de prospecter de nouveaux sites, toujours en se focalisant sur les éléments métalliques, souvent cachés ou enfouis dans le sédiment, d’en appréhender la nature, les quantités, les zones les plus atteintes et enfin, de les retirer définitivement du milieu et de les traiter. Cette nouvelle campagne a été élaborée en capitalisant les expériences précédentes pour traiter de nouvelles zones plus difficiles à explorer.
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sophie.durville.galaxea@gmail.com
Inspirer les habitants du Brûlé à valoriser leurs patrimoines naturels © SREPEN
Société Réunionnaise pour l’Étude et la Protection de l’Environnement
Inspirer les habitants du Brûlé à valoriser leurs patrimoines naturels
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Mobilisation citoyenne • Restauration d'habitats
BESTLIFE2030 : Ce projet s’articule autour de 4 actions concrètes afin d’impulser et maintenir des dynamiques locales territoriales autour de l’amélioration de la qualité des espaces paysagers et de la biodiversité à proximité du village du Brulé, porte du cœur de Parc national :

1. Créer un arboretum sur le terrain du « Chalet », lieu d’exposition et de réception orienté vers l’interprétation du patrimoine et la préservation de la Nature ;
2. Créer un arboretum sur le terrain de la « Maison Roger » véritable lieu de vie du village ;
3. Coordonner des chantiers de lutte contre les espèces exotiques envahissantes à « Mamode camp » ;
4. Sensibiliser le public à la biodiversité, aux espèces exotiques envahissantes et aux pratiques contribuant à la transition écologique.
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contact@srepen.re
Augmenter la biodiversité sur les parcelles agricoles grâce aux infrastructures agroécologiques © Carol Develter
EARL Jasmin Mangua, Union des horticulteurs et pépiniéristes de La Réunion
Augmenter la biodiversité sur les parcelles agricoles grâce aux infrastructures agroécologiques
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances • Restauration d'habitats
BESTLIDE 2030 : Ce projet vise à contribuer à l'amélioration des connaissances sur ces dispositifs et leurs impacts écologiques, à destination notamment des autres agriculteurs de l'île. La mise en place d'IAE sur cette exploitation fera l'objet d'un suivi écologique détaillé.
Pour alimenter ces références, le projet prévoit également de tester des IAE (talus, baissières, bandes fleuries) dans d'autres contexte agro-climatiques de l'île, chez les agriculteurs membres du Groupement d'Intérêt Économique et Environnemental (GIEE) sur la protection biologique intégrée (PBI), dont l’EARL Jasmin Mangua est membre. Cette démarche collective, de dimension professionnelle, sera mise en œuvre par l’Union des horticulteurs et pépiniéristes de La Réunion (UHPR) et bénéficiera de l'appui de l'animatrice de ce groupement.
Une autre démarche collective, de dimension plus locale, sera conduite dans le quartier Bois de Nèfles, où se situe l'EARL Jasmin Mangua. Le projet encouragera la plantation d'arbres indigènes et endémiques par les agriculteurs et les associations du quartier, dans un but environnemental (reboisement à proximité de 2 ravines) et social (amélioration du cadre de vie dans ce quartier prioritaire de la politique de la ville). Objectif transversal du projet, la valorisation des résultats du projet concernera différents publics (agriculteurs, élèves, grand public).
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jasmin.mangua@yahoo.fr
EXPRIM - Projet pilote de régénération écologique post-incendie au Maïdo © Parc national de La Réunion
Parc national de La Réunion
EXPRIM - Projet pilote de régénération écologique post-incendie au Maïdo
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Restauration d'habitats • Restauration d'espèces
BESTLIFE 2030 : C’est en s’appuyant sur le dernier épisode de feu survenu au Maïdo en novembre 2020, qu’il a été proposé de mener un « projet pilote de régénération écologique post-incendie au Maïdo », répondant à trois objectifs complémentaires :

-Expérimenter des méthodes de régénération du milieu afin d’alimenter un protocole d’intervention post-incendie et ainsi gagner en réactivité pour la mise en œuvre d’actions de lutte et de restauration après le passage d’un incendie sur des zones à enjeux (triangle des Bénares et fronts d’invasion par l’ajonc notamment) ;
-Augmenter la pression de lutte contre l’ajonc d’Europe afin d’améliorer la patrimonialité de l’emblématique site du Maïdo ;
-Mobiliser la société civile autour des enjeux de préservation des patrimoines altimontains réunionnais pour une meilleure prise de conscience du caractère exceptionnel et fragile de cette biodiversité si particulière.
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contact@reunion-parcnational.fr
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