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BONZAIL - Explorer le potentiel de l'ail en alternative à la dévitalisation chimique © David CHEVET (ONF Végétis)
Plante & Cité
BONZAIL - Explorer le potentiel de l'ail en alternative à la dévitalisation chimique
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Espèce exotique envahissante végétale
AMI : Mieux gérer les espèces exotiques envahissantes

Bien que l'arbre, symbole de la nature en ville, soit de plus en plus mis en avant dans les aménagements urbains, il reste des situations où il est parfois nécessaire de le supprimer pour des raisons de sécurité, de cohabitation difficile avec les réseaux enterrés, voire lorsqu'un arbre est porteur d'un agent pathogène à risques (i.e. chancre coloré du platane...). Quand une intervention mécanique s'avère impossible ou inefficace (arbres poussant sur un ouvrage d'art, arbres produisant des rejets ou drageons...), les solutions efficaces ET autorisées manquent, notamment sur les sites où il n'est plus possible d'utiliser des dévitalisants chimiques.
Certaines solutions présentent un potentiel intéressant, et, parmi celles-ci, l'ail ressort comme le candidat ayant le plus de potentiel. En effet, la dévitalisation à l'ail est (i) relativement simple à mettre en oeuvre, (ii) présente une efficacité intéressante, (iii) compatible avec la loi Labbé - la gousse d'ail utilisée telle que étant hors champ de la réglementation phytosanitaire. Si la technique a été testée sur le terrain, elle ne semble à ce jour pas avoir fait l'objet de travaux de recherche ou d'expérimentations d'où un manque de références techniques et scientifiques sur le sujet permettant sa diffusion au grand nombre.
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Maxime GUERIN
maxime.guerin@plante-et-cite.fr
L’ADN environnemental comme outil de suivi de la biodiversité des vers de terre néotropicaux © M. Coulis (CIRAD)
CIRAD et Université Paris Est Créteil
L’ADN environnemental comme outil de suivi de la biodiversité des vers de terre néotropicaux
Océan Atlantique, Guadeloupe, Guyane, Martinique
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances
AMI : Surveillance terrestre
L’objectif de ce projet est de développer une méthode innovante pour détecter la présence d’espèces de vers de terre dans différents écosystèmes naturels des Antilles et de la Guyane. Le principe de la méthode repose sur la détection de traces d'ADN laissées par les vers de terre dans leur environnement. De plus, une nouvelle technique de séquençage d’ADN basée sur la technologie Oxford Nanopore et le modèle de séquenceur MinION sera testée. Elle permettra donc de détecter la présence d’espèces préalablement répertoriés sans collecter les spécimens, donc potentiellement en dehors de leur période d’activité. Ceci sera très utile pour des espèces ayant des cycles d’activité saisonniers et des rythmes circadiens marqués. Cette méthode basée sur le métabarcoding d’ADN environnemental (ADNe) permettra à des gestionnaires d’espaces naturels ou des instituts techniques agricoles de réaliser des inventaires et des suivis de la biodiversité des vers de terre à l’échelle d’un écosystème à partir de prélèvements de terrain simples à réaliser. Le choix des vers de terre est pertinent car c’est un groupe sous-étudié dans la région néotropicale. De plus, c’est un bon indicateur du niveau de perturbation dans les environnements naturels et semi-naturels. De plus, l’utilisation du séquenceur « de poche » MinION, pouvant être déployé dans des conditions de laboratoire minimalistes permettra l’obtention de données au plus près des sites d’échantillonnage.
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Mathieu COULIS
mathieu.coulis@cirad.fr
POLLICAN - Développement d’un protocole de suivi des insectes pollinisateurs dans les écosystèmes forestiers antillais © Nicolas Moulin
Tout Là-Haut, Nicolas Moulin Entomologiste, Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité, CEFE-CNRS, Fredon Martinique et AEVA
POLLICAN - Développement d’un protocole de suivi des insectes pollinisateurs dans les écosystèmes forestiers antillais
Océan Atlantique, Guadeloupe, Martinique
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances
AMI : Surveillance terrestre
L’entomofaune des Antilles a été étudiée depuis des décennies afin d’améliorer la connaissance taxonomique et biogéographique. Mais cela a toujours eu lieu lors d’évènements ponctuels d’inventaires et non pas sur des suivis à long terme ; et encore moins, concernant les insectes pollinisateurs. De plus, ces actions se sont très rarement déroulées en canopée ; strate de la végétation reconnue pour héberger une biodiversité équivalente à celle du sol.
Le projet POLLICAN a pour objectif le développement d’un protocole de suivi des insectes pollinisateurs en canopée aux Antilles en vue de son intégration au sein de programmes de surveillance ultérieurs : le suivi par piège aux bols colorés, à la tente Malaise, lumineux et lors de prospections à vue. En nous appuyant sur la mise en place de ce projet pilote sur deux années avec un échantillonnage trimestriel, nous tenterons de confirmer que la communauté d’insectes pollinisateurs de canopée est différente de celle du sol ; de déterminer les avantages et les inconvénients de chaque dispositif d’échantillonnage mis en place et du traitement adéquat des données ; d’évaluer les taxons cibles et leur phénologie afin de préciser les périodes favorables pour une surveillance précise. Les résultats de ce projet contribueront à instaurer un programme de suivis et de surveillance des insectes pollinisateurs en Outre-Mer mais également en France métropolitaine.
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Nicolas MOULIN
toutlahautorama@gmail.com & nmentomo@gmail.com
BÎLO - Calibration d’outils de surveillance de la Biodiversité tellurique à l’échelle d’une ÎLe Océanique © R. Carayol (CIRAD)
CIRAD (UR HortSys)
BÎLO - Calibration d’outils de surveillance de la Biodiversité tellurique à l’échelle d’une ÎLe Océanique
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances
AMI : Surveillance terrestre
Les initiatives de surveillance de la biodiversité des sols ne sont aucunement adaptées aux enjeux et à l’échelle d’un territoire aux gradients écologiques aussi prononcés que ceux de l’île de La Réunion. Aussi, le projet BÎLO propose de développer de nouvelles méthodes pour le l’étude et le suivi de la biodiversité tellurique, dimensionné de façon adaptée au contexte insulaire tropical. Les suivis proposés se basent sur la combinaison d’une approche de science participative impliquant les acteurs de la gestion des sols à La Réunion, et l’utilisation d’outils moléculaires de dernière génération. La mise en œuvre de ces protocoles de suivi permettra en parallèle la production de connaissances de la structuration de la biodiversité dans les sols réunionnais, des facteurs d’érosion de cette biodiversité, et des risques pour le fonctionnement de ces écosystèmes insulaires. Ces connaissances seront synthétisées via le développement d’un référentiel territorial déployant des indicateurs de l’état de la qualité biologique des sols et de dégradation de l’habitat, utiles aux acteurs de la gestion des sols et de la conservation de leur biodiversité. La « boite à outils » méthodologique développée sera diffusée largement et librement pour permettre à d’autres équipes scientifiques de répliquer la démarche. Ce
projet deviendra ainsi un pilote de démonstration pour d’autres territoires.
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Caroline BRUNEL
caroline.brunel@cirad.fr
Programme de surveillance des amphibiens et des reptiles de l’océan Indien (La Réunion et Mayotte) © Caméléon de Mayotte
Société Herpétologique de France, Nature Océan Indien et GEPOMAY
Programme de surveillance des amphibiens et des reptiles de l’océan Indien (La Réunion et Mayotte)
Océan Indien, La Réunion, Mayotte
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances
AMI : Surveillance terrestre
Les Listes Rouges de l’UICN publiées pour les territoires de La Réunion et de Mayotte ont mis en évidence le fait que de nombreuses espèces d’amphibiens et de reptiles y sont menacées, ou ne peuvent être évaluées du fait d’un manque de données à leur sujet. Face à ce constat alarmant, il devient urgent de mettre en place une surveillance de ces espèces, afin de pouvoir mesurer d’éventuelles diminutions de leurs populations, et pouvoir agir rapidement pour garantir leur préservation.
Malgré la disponibilité de quelques protocoles déployés chez certaines espèces, peu d’entre eux ont bénéficié d’une évaluation statistique, et aucun n’est déployé à l’échelle des territoires concernés. De plus, dans ce contexte tropical hébergeant certaines espèces difficilement détectables, il convient de tester des méthodes innovantes pour améliorer la détection de ces animaux. Le présent projet prévoit donc la validation statistique et le déploiement de protocoles pour le suivi des tendances des populations de certaines espèces d’amphibiens et de reptiles de La Réunion et de Mayotte sur le long terme. Ces protocoles bénéficieront d’une animation et d’une coordination nationale, appuyée par des structures locales implantées sur les territoires concernés.
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TROCHET Audrey
audrey.trochet@lashf.org
Transformation d'une friche en front de mer en mini-forêt urbaine © Ville de Saint-Denis
Ville de Saint-Denis
Transformation d'une friche en front de mer en mini-forêt urbaine
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2023, projet annuel
Restauration d'habitats • Restauration d'espèces
Fonds vert : Une forêt urbaine installée sur le front de mer dionysien, c’est le pari fou que s’est lancé la mandature. Créer un espace clos dans un milieu urbain afin de faire renaître une biodiversité, là est toute l’ambition du projet. En effet, cette forêt s’apparentera à un véritable sanctuaire fermé au public, où la nature pourra ainsi reprendre ses droits. Seul un chemin et une placette seront créés au milieu de cette forêt clôturée afin de garder l’ouverture sur la mer et le lien avec la nature.
Saint-Denis a répondu à un appel à projets afin d’obtenir une subvention dans le cadre du fond vert, fond de renaturation. Suite à la démolition de l’ancienne bibliothèque, Saint-Denis a d’ores et déjà pu recevoir une subvention dans le cadre du fond friche. Une partie de ses matériaux, cuivre, métal, bois, béton, ont pu être recyclés dans une logique d’économie circulaire.
Le projet prévoit la plantation de plus 17 000 arbres d’ici fin 2025 – début 2026 pour un coût de près de 1 million d’euros. Ils seront créés en contrat de culture et plantés après deux ans de préparation des sols avec des herbacées couvre-sol comme engrais vert. Les plantes ont été choisies en fonction de l’environnement dans lequel elles vont être plantées. Cette forêt urbaine s’inscrit ainsi dans la continuité de la méthode d’Akira Miyawaki, botaniste japonais, qui a développé une technique pour restaurer un véritable écosystème forestier en zone urbaine de manière 100% naturelle.
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mairie.saint.denis@ville-saint-denis.fr
Mise en place d’une brigade de lutte contre les  espèces exotiques envahissantes en Martinique © Observatoire martiniquais de la biodiversité
Parc naturel régional de Martinique
Mise en place d’une brigade de lutte contre les espèces exotiques envahissantes en Martinique
Océan Atlantique, Martinique
Lancé en 2023, projet en cours
Espèce exotique envahissante animale • Espèce exotique envahissante végétale
Fonds vert : Le parc régional de la Martinique est un acteur actif en Martinique de la protection et de la valorisation du patrimoine naturel. Il a mené en 2021 et 2022 des actions de lutte contre les espèces exotiques envahissantes, 3e cause de l’érosion de la biodiversité mondiale.
Le parc souhaite conforter son action dans ce domaine en portant un ambitieux plan de lutte d’une durée de 4 ans. En particulier, il s’agira de cibler les espèces émergentes prioritaires, dont miconia cavescens, surnommé le cancer vert, et pachira insignis, qui menacent le cœur de bien du projet UNESCO. Des actions sur l’iguane commun seront également menées pour protéger l’iguane des Petites Antilles, espèce en danger critique d’extinction.
Les actions seront conduites par la brigade d’intervention du parc constituée dans ce but. Cette dernière travaillera avec les collectivités locales, les services de l’État et les gestionnaires d’espaces naturels. Les chantiers seront aussi des occasions de sensibiliser la population aux enjeux et impacts des espèces exotiques envahissantes et de répondre aux sollicitations particulières.
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Nadine VENUMIERE
n.venumiere@pnrmartinique.com
Komo Maite © UICN Cf
Vai-Natura SARL
Komo Maite
Océan Pacifique, Polynésie française
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances • Restauration d'habitats • Service écosystémique
BESTLIFE2030 : La vie traditionnelle sur les atolls de l'archipel des Tuamotu ne reposait pas uniquement sur les ressources marines ; les ressources terrestres de la couronne corallienne émergée étaient également utilisées pour assurer un approvisionnement alimentaire continu et diversifié.
L'une des pratiques anciennes les plus emblématiques était l'utilisation de fosses de culture (maite). Une fosse de culture est une excavation traditionnellement creusée par la communauté à l'aide de pelles en nacre et carapaces de tortues pour atteindre le sommet de la lentille d'eau douce. Les oiseaux nichant dans les grands arbres (notamment les Pisonia grandis) apportaient également de l'engrais sous forme de guano.
Des vestiges de ces fosses de culture existent encore sur de nombreux atolls, bien que le souvenir de leur fonction ait été largement oublié. Komo Maite vise à restaurer des maite pilotes sur l’atoll de Nukutavake afin d’en retrouver le fonctionnement grâce à de nouvelles études et des tests sur le terrain. La réhabilitation de ces maite permettrait d'améliorer la sécurité alimentaire sur les atolls isolés, tout en relançant les techniques agricoles traditionnelles grâce à une approche nature-culture.
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contact@vai-natura.com
Restauration écologique d'une nouvelle zone du plateau Te Mehani rahi, île de Raiatea © Fred Jacq
Association Tuihana
Restauration écologique d'une nouvelle zone du plateau Te Mehani rahi, île de Raiatea
Océan Pacifique, Polynésie française
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances • Espèce exotique envahissante végétale • Restauration d'habitats • Restauration d'espèces
BESTLIFE2030 : Le projet vise à restaurer la végétation et la flore exceptionnelles du plateau Te Mehani rahi sur une nouvelle zone de haute altitude encore peu dégradée, sur l'île de Raiatea. Il vise également à poursuivre le contrôle des zones déjà gérées depuis 2018. La lutte contre les plantes invasives se fera uniquement par arrachage manuel et/ou dessouchage à la barre à mine.
L'évolution de la végétation, l'impact et l'efficacité des mesures de gestion seront évalués à travers un inventaire et une cartographie initiale de la flore voire partielle de la faune de ces têtes de bassin versant, la mise en place d’une nouvelle placette permanente et le suivi d'un réseau d'une vingtaine de placettes permanentes ou semi-permanentes installées depuis 2018 et 2009.
Les dommages collatéraux liés aux prélèvements et au piétinement dans le cadre du projet seront estimés en évaluant les surfaces en déchets verts et érodées liées au projet. Ce projet vise également à poursuivre la sensibilisation à la nécessité de protéger la biodiversité par le biais d'un événement annuel, de conférences publiques, d'interventions et d'ateliers dans les écoles.
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romytavaearii@gmail.com 
Rori Ma'ohi © Alice Gouzerth
Tahiti Marine Products
Rori Ma'ohi
Océan Pacifique, Polynésie française
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances • Restauration d'habitats • Restauration d'espèces • Service écosystémique
BESTLIFE2030 : Le projet d'élevage de concombres de mer en Polynésie vise à développer une industrie inclusive qui offre une alternative durable à la pêche lagonaire, en soutenant la conservation des lagons. Il se concentrera sur les lagons de Tupai et de Tahiti.
Ce projet répond à la nécessité de protéger les concombres de mer, en particulier H. fuscogilva et H. whitmaei, qui ont été inscrits à la CITES en 2020 en raison de la surpêche. L'objectif est d'offrir un modèle alternatif au braconnage dans le Pacifique en rendant viable cette industrie durable. À Tupai, le projet vise à valoriser le lagon grâce à l'élevage de concombres de mer. A Tahiti, des fermes sont développées dans les zones de rahui, où une future coopérative de pêcheurs sera formée. Il propose un modèle d'aquaculture innovant et étudie les bénéfices écologiques de cet élevage extensif. Des expériences menées à Tupai et à Tahiti permettront d'évaluer l'impact de l'élevage d'holothuries sur l'écosystème (hydrologie, sédiments, micro et macro-biodiversité, en particulier le développement des coraux). Ce projet représente une opportunité pour la conservation des lagons et la protection des concombres de mer en Polynésie française.
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secretariat@tahitimarinegroup.com
Tetiaroa Atoll Seabird Restoration - Protecting Oceanic Biodiversity while Building Ecosystem Resilience to Climate Impacts © Tim McKenna
Tetiaroa Society FP
Tetiaroa Atoll Seabird Restoration - Protecting Oceanic Biodiversity while Building Ecosystem Resilience to Climate Impacts
Océan Pacifique, Polynésie française
Lancé en 2024, projet en cours
Espèce exotique envahissante animale • Restauration d'espèces
BESTLIFE2030 : L'atoll de Tetiaroa est reconnu comme l'un des sites de reproduction d'oiseaux marins les plus importants de Polynésie française, abritant onze espèces reproductrices dont trois espèces menacées localement selon l'UICN. Cependant, de nombreuses autres espèces d'oiseaux marins sont absentes à cause des rats envahissants qui s'attaquent aux œufs et aux poussins. Avec l'éradication des rats et d'autres espèces envahissantes de Tetiaroa, il existe une opportunité importante de restaurer les espèces d'oiseaux marins disparues grâce à des techniques d'attraction sociale des oiseaux marins, et de fournir un exemple pour l'utilisation de cette approche de conservation sur d'autres îles. La restauration des oiseaux marins n'est pas seulement importante pour la conservation des espèces, mais aussi pour renforcer le rôle clé que jouent les oiseaux marins dans les écosystèmes des atolls.
Le programme de restauration de l'atoll de Tetiaroa (TARP) est en cours depuis 2018 et a éliminé les rats envahissants et les fourmis folles jaunes et surveille maintenant les réponses à ces interventions de conservation dans les écosystèmes terrestres et marins. Le projet propose d'utiliser des méthodes d'attraction sociale pour rétablir les populations d'espèces d'oiseaux marins disparues, en commençant par le Puffin fouquet.
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web@tetiaroasociety.org
Conservation de la forêt naturelle de Maraeti'a - restauration de la végétation du plateau © Jean-Yves Hiro Meyer – Délégation à la Recherche de Polynésie française
Te rau atiati a tau a hiti noa tu
Conservation de la forêt naturelle de Maraeti'a - restauration de la végétation du plateau
Océan Pacifique, Polynésie française
Lancé en 2024, projet en cours
Espèce exotique envahissante animale • Espèce exotique envahissante végétale • Restauration d'habitats
BESTLIFE2030 : Maraeti'a est un petit plateau d'une vingtaine d'hectares situé entre 700m et 800m d'altitude à Tahiti. Il présente une forêt naturelle originale et diversifiée, comprenant de nombreuses espèces végétales endémiques rares et protégées, inscrites sur la liste rouge de l'UICN. Cependant, l'environnement est fortement impacté par l'introduction d'espèces animales (porcs, rats, etc.) et végétales (Passiflora maliformis, Tecoma stans, Rubus rosifolius, etc.).
Le programme vise à conserver la forêt naturelle du plateau et à restaurer les zones fortement touchées à moyen et long terme. Dans ce contexte, le projet actuel propose les actions suivantes sur la période : Poursuivre la lutte contre les plantes envahissantes dans la zone clôturée ; Mettre en place une pépinière in situ pour produire des plantes indigènes ou même endémiques à croissance rapide ; Planter ces semis dans les zones fortement touchées afin de restaurer rapidement le couvert végétal ; Continuer à favoriser le recrutement naturel des semis en gérant les plantes invasives dans les zones moins touchées ; Poursuivre les opérations de dératisation sur l'ensemble du plateau.
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terauatiati.upsn@gmail.com
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