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MERCI - Maitrise des Espèces de Reptiles exotiques dans la Caraïbe Insulaire © Franck Cézilly
Caribaea Initiative
MERCI - Maitrise des Espèces de Reptiles exotiques dans la Caraïbe Insulaire
Guadeloupe, Martinique
Lancé en 2021, projet terminé en 2023
Amélioration des connaissances • Espèce exotique envahissante animale
Le projet MERCI, acronyme pour « Maîtrise des Espèces de Reptiles exotiques dans la Caraïbe Insulaire » (en anglais « Managing Exotic Reptiles on Caribbean Islands »), vise ainsi à compléter les connaissances scientifiques relatives à plusieurs espèces de reptiles exotiques invasifs : geckos, lézards anoles, tortues et iguanes. Il a également pour objectif de mettre en place des actions concrètes permettant la surveillance de ces espèces, leur gestion sur le terrain, et des mesures préventives plus efficaces dans le territoire des Petites Antilles (Guadeloupe, Dominique, Sainte Lucie, Saint Vincent et les Grenadines).
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Franck CEZILLY
frank.cezilly@caribaea.org
REVPOL - Revégétalisation de l'espace urbain et périurbain antillais en faveur des pollinisateurs © Caribea Initiative
Caribaea Initiative et AMAZONA
REVPOL - Revégétalisation de l'espace urbain et périurbain antillais en faveur des pollinisateurs
Guadeloupe, Martinique
Lancé en 2021, projet terminé en 2023
Amélioration des connaissances • Mobilisation citoyenne • Restauration d'habitats
Le projet vise à améliorer les stratégies de revégétalisation en milieu urbain et périurbain (espaces verts, jardins, dents creuses, friches) dans les Antilles françaises à partir de la collecte et de l'analyse de données sur l'utilisation des plantes natives et exotiques par différentes espèces de pollinisateurs (chiroptères, oiseaux, lépidoptères), dans une démarche de science participative associant des activités d'information et de sensibilisation de publics cibles. Le projet associe deux associations antillaises (Caribaea Initiative et AMAZONA) aux communes de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe et du Lamentin en Martinique. Les résultats acquis au sein du projet serviront à émettre des recommandations de gestion des espaces verts publics et privés dans les communes partenaires et, plus généralement, à l'échelle des Antilles.
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contact@caribaea.org
PROSPOVERG - Mise en place d'un programme de suivi des populations de vertébrés en milieu forestier en Guadeloupe © Caribea Initiative
Caribaea Initiative
PROSPOVERG - Mise en place d'un programme de suivi des populations de vertébrés en milieu forestier en Guadeloupe
Guadeloupe
Lancé en 2020, projet terminé en 2023
Amélioration des connaissances
Le projet consiste à mettre en place un programme de suivi et de recensement de la diversité du peuplement d'oiseaux et de mammifères (notamment les espèces exotiques envahissantes) au sein d'une forêt sèche de Guadeloupe. Il combine la mise en place d'un programme de baguage et de suivi par recapture et observations d'individus marqués, avec l'utilisation simultanée de pièges photographiques et d'enregistreurs acoustiques. Les données obtenues au sein du projet permettront de calibrer de futurs dispositifs de suivi en forêt sèche dans les Antilles. Le projet vise aussi à former des étudiants aux méthodes modernes de suivi et d'étude de la faune sauvage.
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contact@caribaea.org
DEVIMTOR - Démographie et EValuation de l’IMpact des TORtues aquatiques exotiques envahissantes dans les Antilles françaises © Caribea Initiative
Caribaea Initiative
DEVIMTOR - Démographie et EValuation de l’IMpact des TORtues aquatiques exotiques envahissantes dans les Antilles françaises
Guadeloupe, Martinique
Lancé en 2024, projet en cours
Amélioration des connaissances • Espèce exotique envahissante animale
Le projet vise à étudier trois espèces de tortues d'eau douce envahissantes en Guadeloupe et en Martinique : la Tortue de Floride (Trachemys scripta), la Trachémyde de Stejneger (Trachemys stejnegeri) et la Péluse de Schweigger (Pelusios castaneus). Il se base sur différentes techniques, telles que l’analyse de l’ADN environnemental permettant d’estimer la répartition spatiale des espèces, des analyses génétiques de leur régime alimentaire, ou encore l’utilisation de méthodes de télémétrie pour récolter des données permettant l’évaluation de l’influence de différents facteurs, notamment anthropiques, sur l’expansion spatiale des populations de ces tortues. Ce projet est mené grâce au soutien financier de l'Office français de la biodiversité (OFB), et de l'Office de l'Eau de Martinique.
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contact@caribaea.org
ESPACYPA - Suivi des espèces aviaires sédentaires et erratiques d'intérêt cynégétique et patrimonial dans les Petites Antilles © Caribea Initiative
Caribaea Initiative
ESPACYPA - Suivi des espèces aviaires sédentaires et erratiques d'intérêt cynégétique et patrimonial dans les Petites Antilles
Guadeloupe, Martinique
Lancé en 2023, projet en cours
Amélioration des connaissances
L'objectif du projet et d'acquérir une meilleure connaissance des espèces d’oiseaux gibiers des Antilles françaises pour une gestion adaptée. A l’heure actuelle, le manque de connaissances sur l’écologie et la dynamique des populations de certaines espèces d’oiseaux d'intérêt cynégétique et patrimonial dans les Petites Antilles empêche le développement d'une gestion rationnelle de leur chasse. Le projet vise à mettre en place un programme d'études et de suivi de plusieurs espèces cibles, en Guadeloupe et en Martinique, permettant de combler ces lacunes. Les données récoltées permettront notamment d'estimer les tailles de populations, de caractériser la distribution spatiale des espèces, d’évaluer leur statut de conservation ou encore d’étudier leur activité reproductrice. Les résultats obtenus permettront aux autorités compétentes de prendre des décisions éclairées pour une gestion adaptée des espèces gibiers, assurant ainsi la durabilité de leurs populations.
Plusieurs espèces d'oiseaux sont ciblées par le projet, en particulier le Pigeon à cou rouge, Patagioenas squamosa, le Pigeon à couronne blanche, Patagioenas leucocephala, le Pigeon jounud, Patagioenas corensis, la Colombe rouviolette, Geotrygon montana, la Colombe à croissants, Geotrygon mystacea, la Tourterelle à ailes blanches, Zenaida asiatica, le Moqueur grivotte, Allenia fusca, et le Moqueur corossol, Margarops fuscatus.
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Christopher CAMBRONE
contact@caribaea.org
STOP EXTINCTION EN POLYNÉSIE FRANÇAISE © SOP Manu
Société d'Ornithologie de Polynésie (SOP Manu)
STOP EXTINCTION EN POLYNÉSIE FRANÇAISE
Polynésie française
Lancé en 2023, projet en cours
Amélioration des connaissances • Espèce exotique envahissante animale • Espèce exotique envahissante végétale • Restauration d'habitats • Restauration d'espèces • Service écosystémique
Notre pays est le troisième au monde avec la plus grande proportion d’oiseaux menacés et le premier dans le Pacifique. Ses oiseaux disparaissent principalement à cause des espèces exotiques envahissantes (EEE) introduites volontairement ou accidentellement par les Polynésiens puis par les Européens, provoquant deux grandes vagues d’extinction dans le passé, où la chasse excessive a dû également jouer un rôle. De nombreuses EEE sont aujourd’hui présentes, déséquilibrant à jamais un grand nombre de ces fragiles écosystèmes insulaires. La Polynésie française étant un territoire de la taille de l’Europe avec 118 îles, ces EEE poursuivent leur progression, principalement disséminées par l’homme d’île en île. Dans ce territoire français d’outre-mer, 50 espèces d’oiseaux ont déjà disparu et 20 des 30 espèces endémiques restantes sont menacées, dont 10 sont classées en danger critique d’extinction (CR). Cinq d’entre elles comptent actuellement moins de 200 individus.
Pour elles, il est temps de dire STOP EXTINCTION !
Pour devenir bénévole, merci de contacter sopmanu@manu.pf
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CHLOE BROWN
brown.chloe127@gmail.com
SAURA © Aymeric Bein - Shark Citizen
Shark Citizen
SAURA
Océan Indien, La Réunion
Lancé en 2022, projet en cours
Amélioration des connaissances • Projet TEMEUM
Micro-projet : Shark Citizen, association engagée dans l’étude et la conservation des requins, vient de clore son projet SAURA (Sensibilisation et Acquisition de données sur les captURes à la côte de requins mArteau juvéniles et de requins de récif à La Réunion). Ce projet visait à sensibiliser les pêcheurs et le public à la réglementation et aux enjeux de conservation mais également à collecter des données sur la pêche des requins de récif et marteaux depuis le bord via des enquêtes et collecte de données. Les résultats de cette étude, présentés aux services de l'État et autres acteurs du milieu marin, mettent en lumière l'urgence d'agir pour protéger ces espèces vulnérables. Ce projet a pu être réalisé avec le soutien financier de l’Office français de la biodiversité et de la DEAL Réunion.

Le financement est arrivé à son terme. Nous espérons poursuivre le projet cependant en continuant la sensibilisation, l'acquisition de données et en réalisant des interventions scolaires.
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Aymeric BEIN
aymeric@sharkcitizen.fr
France Relance : Atténuation des impacts liés aux aménagements portuaires sur la biodiversité marine côtière © Remy Dubas
Association de gestion de la Réserve Naturelle de Saint-Martin (AGRNSM)
France Relance : Atténuation des impacts liés aux aménagements portuaires sur la biodiversité marine côtière
Saint-Martin
Lancé en 2022, projet terminé en 2023
Amélioration des connaissances • Bénévolat • Espèce exotique envahissante animale • Restauration d'habitats • Restauration d'espèces
Le développement des activités anthropiques littorales génère de nombreuses pressions, dont l’artificialisation des habitats côtiers peu profonds notamment du fait des infrastructures côtières et marines telles que les ports et les marinas. La fonctionnalité de nurserie de ces derniers s’en trouve dégradée par l’implantation de nombreux pontons et quais verticaux sans reliefs. A Saint-Martin, le développement des infrastructures portuaires a fortement impacté les herbiers de Magnoliophytes marines et les mangroves. Dans le cadre du projet Plan France Relance, l’Association de Gestion de la Réserve Naturelle de Saint-Martin a installé 40 habitats artificiels sur trois sites portuaires. La colonisation de ces habitats de types Biohut® par les juvéniles et post-larves des poissons a été ensuite suivie régulièrement entre mai 2022 et juin 2023. La richesse, l’abondance et la diversité moyenne des espèces étaient plus élevées au sein des habitats artificiels que sur les linéaires non équipés. La composition des peuplements semblait aussi plus équilibrée d’un point de vue fonctionnel (trophique et classe de taille). La forte disparité constatée entre les trois sites portuaires semble liée à aux conditions environnementales et à la proximité de diverses nurseries naturelles même dégradées. Ainsi, ces Biohut® sont des outils d'ingénierie écologique prometteurs pour renforcer la fonction de nurserie à l'intérieur des ports et de compenser leurs impacts.
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Aude BERGER
reservenat.aude@yahoo.com
France Relance : Lutte contre les espèces exotiques impactant la biodiversité terrestre emblématique des ilets de la RNN de Saint-Martin © Florent BIGNON
Association de gestion de la Réserve Naturelle de Saint-Martin (AGRNSM)
France Relance : Lutte contre les espèces exotiques impactant la biodiversité terrestre emblématique des ilets de la RNN de Saint-Martin
Saint-Martin
Lancé en 2022, projet terminé en 2023
Amélioration des connaissances • Espèce exotique envahissante animale • Mobilisation citoyenne
En cohérence avec les actions d’inventaire et de régulation des populations de rongeurs introduits impactant les ilets de la Réserve Naturelle Nationale de Saint Martin menée depuis 10 ans par le gestionnaire de la RNN, consécutivement à la perte de matériel de piégeage suite au cyclone Irma en 2017, conformément aux conclusions de l’étude « Evaluation de l’impact du cyclone Irma sur la flore sensible de 4 ilets de la RNN de Saint Martin » en 2020 ; le gestionnaire de la RNN de Saint-Martin se doter de 150 pièges à piston automatiques à déployer sur 1 an à Tintamarre. Le matériel sera destiné à lutter contre les rats et souris introduits sur les ilets classés, où ils impactent la faune et la flore, dont des espèces protégées (scinque, gaïac, cactacées, sternes…).
Sous la supervision d'agents AGRNSM, des bénévoles et collaborateurs participeront au déploiement en 3 phases et au suivi des pièges, afin que l'ensemble de l'ilet puisse être traité et d'induire une notable diminution de la population de rongeurs introduits impactant sa faune et sa flore.
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Aude BERGER
reservenat.aude@yahoo.com
ReCorEA : Atténuation des pressions anthropiques subies par les écosystèmes marins côtiers de Saint-Martin © AGRNSM
Association de gestion de la Réserve Naturelle de Saint-Martin (AGRNSM)
ReCorEA : Atténuation des pressions anthropiques subies par les écosystèmes marins côtiers de Saint-Martin
Saint-Martin
Lancé en 2023, projet en cours
Amélioration des connaissances • Restauration d'habitats • Service écosystémique
Les écosystèmes marins côtiers de Saint Martin sont constitutifs de l’identité saint-martinoise, support d’une biodiversité emblématique et endémique et moteurs de l’activité économique locale. Malgré la création de la RNN en 1998, ces écosystèmes continuent de se dégrader sous l’effet de pressions globales et locales, parmi lesquelles la fréquentation (l’usage de l’ancre) et les rejets à la mer d’effluents. L’AGRNSM entend ici réduire ces pressions locales en les localisant, en définissant une stratégie d’atténuation passant par le déploiement d’un nouveau parc de mouillages écologiques plus adapté et permettant d’aller vers l’interdiction de l’ancrage et en accompagnant la restauration la mangrove favorisant la rétention et l’épuration des eaux d’origine terrestre. La réponse à la mise en œuvre de ces actions d’atténuation sera évaluée et leur acceptation par les usagers sera accompagnée par des actions de sensibilisation et d’implication des usagers.
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Clément BONNARDEL
reservenat.clement@gmail.com
PROTEGE - Dératisation sur 13 îlots de Wallis © Pacific-Community-SPC
Communauté du Pacifique (CPS) et le Programme régional océanien de l’environnement (PROE)
PROTEGE - Dératisation sur 13 îlots de Wallis
Wallis et Futuna
Lancé en 2018, projet en cours
Espèce exotique envahissante animale
Le Projet Régional Océanien des Territoires pour la Gestion durable des Écosystèmes (PROTEGE) est un projet de coopération régionale qui intervient en soutien des politiques publiques des quatre PTOM du Pacifique : Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis et Futuna et les Iles Pitcairn. Pour une durée de quatre ans (2018-2023), il se décline en quatre thèmes : agriculture et foresterie, pêche côtière et aquaculture, eau et espèces envahissantes. Pour ce dernier volet, l'une des actions entreprise a été la dératisation sur 13 îlots de Wallis. Ainsi, le Service territorial de l'environnement, appuyé par Island Conservation, a pu réaliser la dératisation manuelle de 2 îlots (Nukuhi’one et Kaviki) et la dératisation par drone de 7 îlots (Nukufotu, Nukula’ela’e, Nukuloa, Luaniva, Fugalei, Nuku’afo et Nukufeta’u) entre octobre et novembre 2022, portant ainsi à 13 le nombre d’îlots dératisés à Wallis, soit 75 ha.
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contact.protege@spc.int
Opération Refuges pour les Chauves-souris
Groupe Chiroptères Océan Indien (GCOI)
Opération Refuges pour les Chauves-souris
La Réunion
Lancé en 2022, projet en cours
Bénévolat • Mobilisation citoyenne • Restauration d'espèces
L’opération Refuges pour les chauves-souris est une campagne de conservation des gîtes de chauves-souris dans les bâtis et les jardins. Initiée par le Groupe Mammalogique Breton (GMB) en 2006, cette opération est pilotée à l’échelle nationale par la Société Française pour l’Étude et la Protection des Mammifères (SFEPM) avec l’appui en région des association locales. Le GCOI déploie l’opération Refuges à La Réunion, premier DOM COM engagé dans cette démarche ! Un Refuge pour les chauves-souris est une propriété publique ou privée, sur laquelle le propriétaire s’engage moralement à respecter les préconisations visant à garantir la conservation d’espaces occupés ou disponibles pour les Chiroptères, notamment quelques adaptations des pratiques d’entretien du bâti et des jardins.
Pour devenir bénévole, merci de contacter contact@gcoi.org
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contact@gcoi.org
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